savourer mensuellement leur vengeance dans nos “colonnes” . Les plus beaux jours des Lacroix et des Verboeckhoven, ces satrapes de la librairie, allaient renaître pour notre chère patrie. Un discret communiqué annonça l’ouverture d’un grand concours dont le but serait de trouver le numéro du Mercure de France, année 1906, contenant le maximum de... disons cacographies. En guise de primes, les palmes académiques, ou six couverts en ruolz, ou une jolie maison de campagne démontable, seraient offerts, au choix, à l’heureux gagnant. Jusqu’ici, le concours a donné premiers exaequo Melle Latapie, professeur de langues vivantes, avec neuf bêtises dans le Mercure du 1er Mai, et M. Achille Knockerols, maître d ’armes, avec neuf bêtises dans le Mercure du 1er Juin. La lice reste ouverte. Les noms des concurrents, même victorieux, ne seront mentionnés que sur expresse demande de leur part. Par suite de dispositions particulières entre l’administration de la revue et M. Knockerols, l’intervention de ce dernier les dispensera de toutes formalités subséquentes. Voici la liste de Melle Latapie :
p. 125 : Paul Margès vaut évidemment mieux que Christiane, qui, elle, agit toujours consciemment, ou presque.