tes cymbales ne tarira non plus que le creux désormais d’une ruche. Puisses-tu t’abattre sur Satan et le chasser devant ton jour comme un bouc émissaire. Puisse ton feu s’allumer et ravager tant de contrées entre lui et nous que nul vivant jamais n’atteigne le milieu de leurs déserts ! Racine de mes racines, engendre ta présence parmi nous, puissé-je voir pareille à la foudre descendre ta face ici.
Nul jamais ne vit Dieu. Nulle pensée ne m’a conçu,
Mais les cœurs m’ont éprouvé.
Nulle parole que la mienne jamais ne m’a nommé, mais lorsque ma parole se fait entendre
Elle prononce mon nom, elle le prononce sans cesse, elle ne s’interrompt point, elle n’en prononce point d’autre.
Je verse ma parole dans l’oreille sourde et dans l’esprit aveugle et elle parvient à la conscience et