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Art. III.
Heideraalikhan et Tiposultan.
Pag. 128.
§. Ier. Les Français doivent-ils entrer dans les querelles qui divisent les princes de l’Inde ?
130.
§. II. La cause de Tiposultan est-elle juste ? A qui, de Tiposultan ou des Marates, conviendroit-il à la France de donner des secours directs ?
143.
§ III. Tenir la balance entre les puissances de l’Inde : et s’il faut absolument épouser un parti, s’unir aux Marates.
155.
Art. IV.
Tableau politique des opérations militaires des Anglais, dans l’Inde, de 1756 à 1783.
162.
§. Ier. Les Français, après le massacre d’Heiderzingue, Divan de M. de Bussi, obligés d’abandonner le Dékan, les quatre provinces.
168.
§. II. Ce qui forme la partie la plus riche de l’Indoustan : vues à ce sujet.
169.
§. III. Prise de Radjpouri, sur le Sidi, ainsi que de la forteresse de Surate, par les Anglais.
171.
§. IV. Surate, le Bengale, trop négligés des Français : jalousie des meres-patries.
173.
§. V. Divani du Bengale, revenu des trois provinces de Bahar, Bengale, Orixa, et les cinq Cerkars du Nord donnés aux Anglais par le Mogol. Leurs projets, à la cote Malabare, dérangés par l’irruption d’Heideraalikhan.
175.
§. VI. Prise de Barotsch, par les Anglais, troubles dans l’empire Marate ; le fils de Nana, assassiné aux pieds de Ragoba, son oncle. Les Anglais donnent des secours au Régent des Marates, prennent Tanin, sont maîtres de Salcette ; leurs projets et marche contre Ponin, capitale des Marates. Traité et paix de Poninder.
Pag. 177.
