fatigué tous les bibliothécaires de Paris & des pr ovinces ovinces ; j avois ouvert uiiecorrespondance avec un ingénieur de la marine ; enfin pavois écrit jusquen Bar bar ie > en Chine & au Monomotapa,
- lorsqu Henriette me voulut faire rendre
compte de mon ouvrage. Quand je lui > eus dit que j’étois à apprêter mes maté-
riaux , & que dans six mois je pourroIs » commencer à coucher quelque chose
sur le papier, elle se mit à éclater. « Eh1 » quoi ! me dit-elle , voulez-vous donc
faire une histoire générale des voyac » ges ? Que vous connoissez peu le goûe c» de Paris ! Un ouvrage qui a même c» 1 appar ence de longueur ennuie c » avant qu’on y jette les yeux ; au lieu .o> qu’une petite brochure d’une ou » deux heures de levure , pour peu
- <»
qu’elle se soutienne, plaît à coup sûr.