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CHAPITRE XXVIIL

Qui pourra fervir au .dénouement.

J*ATTENDOi5 avec impatience des nouvffo de Colette, Le baron m’aborde & mt tire de li rêverie oîi j*étois plongé ^nm^ queftionnacf ^ Pétat de txit% affaires. Eh 1 bien nolrt féal,flsîj dit-il, nous en voilà donc réduit à fe B’^®’ court. Colette vous trompe, la petite Hwjw fe marie. La vanité vous guérira de Colette,dégoût vous détachera de madame Babot/i^J^ ne crains que l’ennui, qui pourra vous gagnsf* Après bien des caravanes , il faudra e/ire^f^^ au mariage. Je veux vous donner une feo^^ de ma main ; je fuis encore trop é/ofgnédetoiiî cngagemens p our accepter vos offres, J^’^^ pliquai-je : dites que Colette vous tient ai^» cœur. Je fuis bien bon , pourfuivit-iJ, àt^^ dre tant de part à vos folies. Vous n’en déinete sûrement pas le motif, je ne ^ons perdrai p^ de vue , & fi le vois jour à me déclarer, y^ apprendrez des chofes qui vous furpreôdront» comment , lui. dis-je ? Oh ! comment, reiiàh il n’eft pas tems ; allez yoti« train, fc P^’^'^^ de ce qui mUnquiette. Je viens de recevoir ^ avis qui pourroit me chagriner^ fi je