labes mêlés, au premier et au deuxième couplets, de vers de 4 syllabes — no lxxxvii.
3o Le deuxième couplet n’a que 4 vers :
α — aabba | cdcd | aabbaR — vers de 8 syllabes — no cxxi.
β — aabba | cdcd | aabbaR — vers de 10 syllabes au premier couplet et de 8 au deuxième — no cxi.
(de 7 vers au premier couplet).
1o Le deuxième couplet a 8 vers :
α1 — aaa4bbb4a | ccc4dccc4d | aaa4bbb4aR — vers de 8 syllabes mêlés de vers de 4 syllabes — nos iv — lxxiv — cxxxviii — cl — cli — clxii — clxx.
α2 — aaa4bbb4a | ccc4dccc4d | aaa4bbb4aR — vers de 10 syllabes mêlés de vers de 4 syllabes — no lxiii.
β — aaa3b7b7b3a | c7c7c3dc7c7c3d | aaa3b7b7b3aR — vers de 8 syllabes mêlés de vers de 3 et de 7 syllabes — no cxli
2o Le deuxième couplet a 10 vers :
aaa4bbb4a | cc4cc4dcc4cc4d | aaa4bbb4aR — vers de 8 syllabes mêlés de vers de 4 syllabes — no lxiv.
Ce genre de la bergerette, né avec l’école de Charles d’Orléans[1], ne lui a guère survécu et a disparu complètement à la fin du xvie siècle.
- ↑ Éd. d’Héricault, t. ii, p. 171, 214 et 237 ; il y a aussi des bergerettes-chansons : voy. ibid. p. 22 et 48.