P. 287, v. 11 : dansillon. (Gaydon, p. 235.)
P. 289, v. 11 : Sa mere Blanchefier.
J’ai usé ici d’une licence analogue à celle dont je trouve un exemple dans le poëme de Gaydon. L’auteur, pour le besoin de la rime, a fait une fois fléchir le nom de son héros en Gaydier (p. 272).
P. 289, v. 20 : Si me li lut parler (mihi licuit).
P. 289, v. 22 : longues (longtemps).
Gaydon, p. 120, 168 :
Ne puet longues durer, — se longues vit.
P. 291, v. 7 : Kallemaines li ber. Voyez cette expression ci-après, p. 307, dans la seconde version de notre poëme.
P. 291, v. 14 : acorde. (Raoul de Cambrai, p. 222.)
P. 291, v. 22 : le trait à un bouzon ; c’est-à-dire que les deux empereurs s’avancèrent chacun à la portée du trait nommé bouzon, en avant de leur camp.
P. 295, v. 11 : entr’eus tienent content. (Cf. Gaydon, p. 218.)
On pourrait lire aussi : entr’eus est li contens ( ils discutent les conditions de la paix).
Ou encore :
De la pais faire entr’eus vont porparlant.
Gui de Nanteuil, p. 94 :
Il ont toute la pès pourquise et pourparlée.
P. 295, v. 20, il faut peut-être lire : com dit tote la gent. Dans le doute, j’ai employé une locution qui se retrouve partout et qui donne au vers ce sens : « Vous en avez tiré vengeance publiquement. »
P. 298, v. 5 : en Paris ladan. Sic, en un mot. Ladan me paraît être une altération de là dedens.