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notes et corrections

V. 3007. — S’elleissent, ms. se elleissent.

V. 3013. — Envaïe, ms. envoïe.

V. 3014. — Isnel[le]ment a la famme aqueillie. — Aquin recouvre-t-il sa femme, ou ne faudrait-il pas corriger : a l’oriflamme aqueillie ?

V. 3015. — [Ou] chastel, ms. et chastel. — Une erreur dans le numérotage a échappé à l’impression entre ce vers et le v. 3074.

V. 3017. — Vers incomplet. — Sens : Garnier que J. C. vous accueille avec un visage favorable.

V. 3020. — E[r]t, ms. est.

V. 3021. — Asaillie, ms. asailliée.

V. 3022. — Brusl[i]e, ms. bruslée.

V. 3024. — Arse, ms. arce.

V. 3026. — Ung hermitage trouva le Barbarin. — L’aveu cité plus haut, reproduisant les actes des saints qui ont illustré la forêt de Nevet, parle de cet ermitage :

« L’antiquité de la famille de Nevet se justiffye en la vye de Sainct Corentin, premier Evesque de Cornouaille, et autres cy après exprimez ; puisqu’il s’y voit, que le Roy Grallon, devenu héritier de Conan son père, environ l’an de nostre salut 388, allant à la chasse et ayant traversé la forest du seigneur de Nevet, il arriva avec son train fortuittement à l’ermitage du dit saint Corentin, proche de la dite forest. Ce qui est encor confirmé par celle de Saint Guenolay, premier abbé de Landevenec, où il est rapporté, que luy et Fragan son père, estantz venus voir le dit saint Corentin, attendu sa sainteté de vye, le trouvèrent en son dit hermitage, au pied d’une Montagne nommée Menez-Cohm, proche d’une grande forest, dicte de Nevet. »

V. 3028. — Messe chantant. — Plusieurs analyses d’Aquin traduisent : c’était le jour de la Saint-Martin