Page:Anonyme - Le roman d'Aquin ou La conquête de la Bretaigne par le Roy Charlemaigne.djvu/287

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
153
notes et corrections

V. 1728 et 1730. — A[e]ntré, ms. antré. Vers faux. —

Çaintures, ms., saintures.

V. 1731. — Ms. Quide paens ont le vasel adiré

Chancelle, à pouay n’est jus versé.

Non-sens et lacune évidente. Le scribe, peu attentif comme toujours, a été induit en erreur par la ressemblance de deux vers consécutifs. Nous n’aurions pas hasardé cette restitution, si ce passage n’eût été précisément celui que reproduit le fac-simile. Le vers restitué ne compte pas dans le numérotage. — Le vasal aduré, expression fréquente dans Aquin, v. 1777, etc. — Au vers 1731, vasel, lire : vesel. Rapprocher le vers 1446.

V. 1732. — Vers incomplet.

Lire : [Nesmes] chancelle, à pouay n’est jus versé.

V. 1734. — Vers faux, que la forme sujet de Fagon rétablirait.

V. 1739. — Alexandrin.

V. 1743. — Ung mot souné, ms. ung moult souné.

V. 1745. — S’est, ms. c’est.

V. 1750. — Pitié ; faute du copiste, pour pité.

V. 1754. — Alexandrin.

V. 1764. — Tué, ms. tuez.

V. 1765. — Le sené, ms. le segné.

V. 1777. — Illec lessay, ms. illec le lessay.

V. 1779. — E[r]t, ms. est.

V. 1787. — Juques au duc Nesmes. Le sens voudrait Nesme ; mais les noms propres ont perdu dans ce ms. l’usage de la flexion.

V. 1788. — Ne s’estoit, ms. ne se estoit.

V. 1789. — S’ung soul petit, ms. si ung soul.

V. 1801. — Que il, ms. qu’il.

V. 1804. — Sans césure.

V. 1808. — Nesmes l’ouait (vers faux), lire : Nesmes le ouait.