V. 1518. — Vers faux. Corr. : Ha[a] ! Dieu vroy, etc.
V. 1520. — Malfé, N. F. « pour diables. »
V. 1531. — Sur, ms. surs. — Chapplé, lire : chapple.
V. 1533. — Jusermes, N. F. « guisarmes. »
V. 1534. — Vers défiguré ; le ms. donne sans incertitude :
Francs s’estournissent allez vous sans aler.
La copie de Ste G. interprète : « ne scavent où aller. » Les autres passent la fin du vers. Cf. v. 1647 (ms. fo 29 vo, v. 19), abréviation de vous, pour vont.
V. 1539. — Deféé, ms. defué.
V. 1540. — Sevré, N. F. « Sevré peut-être vient de séparer. »
Laisse XIX — en fin de vers : ms., efforcent, aident, comment, recroyent, pasment, maintenent, chaient, reclipent, devalent, couppent, guerroient, fandent, dorment, garent, eschappent, mentent.
V. 1549. — Sesambre soubz l’erbre, V. N. « Sesambre sur l’herbe. » La disposition des lieux rend le mot soubz très-intelligible. La bataille se livrait dans la grève qui s’étend sous le monticule « verdeant » qui forme encore aujourd’hui l’île de Césembre.
Erbre, mot douteux, pour erbe, d’après ce qui précède, et non pour arbre.
V. 1559. — Beau sere, ms. beau frere.
V. 1563. — Vers faux, lire : mestier [en] abvon grant.
V. 1569. — Espée, cf. 723.
V. 1583. — Vers faux. Le mot qui manque indiquait si le Sarrazin s’avançait en invoquant Tervagant, ou s’il portait le propre nom de son Dieu.
V. 1591. — Ung, ms. ugn.
V. 1598. — Juqu’à la char, ms. juques a.