notice sur la place occupée par la Conquête de la Bretagne dans la légende Carolingienne.
Les Épopées françaises, par Léon Gautier. Paris, Palmé, 1867, Ire édition, tome II, p. 294-305. Analyse et notes bibliographiques [1].
Chanson de Roland, édition de Léon Gautier. Mame, 1872, tome II, notes et corrections, p. 37-8 et 69. Analyse abrégée.
Charlemagne, par A. Vétault, Mame, 1877. Reproduction de l’analyse qui précède, p. 470.
Chroniques d’Alain Bouchart, Galliot du Pré, 1514, in-4o, fo 86, vo. Elles contiennent une intéressante mention du roi Aquin [2].
- ↑ Traduction de l’épisode d’Ohès de Carhaix appelé, on ne sait pourquoi, Hoel de Nantes, citation des v. 1831-46, 1708-37.
- ↑ Alain Bouchart fond les chapitres xxvii à xxx du faux Turpin
dans celui qu’il intitule : « Des sepvltvres des corps des
chevaliers chrestiens qui fvrent occis a Roncevavlx et comment
Charlemagne conqvist le royavlme de Bretaigne. »
Après les funérailles d’Arastagnus, roi de Bretagne, au château de Belin, et d’Hoel, comte de Nantes, dans sa ville, vient le passage qui nous intéresse : « Et puis s’en retourna en France Charlemaigne, lequel après la mort du roy Arastagnus s’esforcea de subsmettre soubz sa couronne le royaulme de Bretaigne, à celle fin que les Bretons feussent à luy subiectz ; et dient aucunes hystoires que pour cest affaire Charlemaigne alla à tout son ost en Bretaigne. Toutesfois j’ay leu en autres croniques qu’il y alla pour secourir les Bretons contre ung prince payen, nommé Acquin, qui descendit en Bretaigne à tout grant