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notes et corrections

V. 276. — Assis, lire : as[s]is, plus loin v. 281 assis.

V. 291. — Ceux, lire : ceulx.

V. 262. — Alexandrin, ou plutôt vers altéré — seon, trace du dialecte normand dans le remaniement de la chanson.

V. 301. — Luy acier — habitude du copiste de donner à ly, article, employé au singulier ou au pluriel, la forme luy. Nous avons cru devoir la conserver comme un des traits caractéristiques du ms. M. Grœber a relevé cette forme dans la Destruction de Rome et l’a rangée parmi les anglicismes de ce texte. (Rom. 1873, p. 2, et corrections. V. 412, 568, 581, etc.)

V. 313. — Bliaut, ms. blant.

V. 318. — Tous, lire : touz.

V. 319. — Large, ms. loeyre, correction par analogie du vers 263.

V. 320. — Luy roy, ms. luy roys.

V. 326. — S’ils estoint occis (vers faux), lire : se ils estoint.

V. 330. — Mesaiges, lire : mesages.

V. 331. — Les a à raison, ms. cela a raison.

V. 334. — Poestis, ms. potis.

V. 338. — La Mé — il faudrait corriger La Mée, nom ordinaire de cette contrée, située entre la Loire et la Vilaine in Mediâ. On sait que cette appellation subsiste encore dans la composition du nom de la commune d’Ercé-en-Lamée. Le comitatus Mediæ a eu son importance historique, surtout au XIIe siècle. Cette région est souvent citée dans le roman de Rou ; quoique, soit dit en passant, le dernier éditeur de cet ouvrage ne paraisse pas l’y avoir reconnue. (Cf. Rou von Dr. H. Andresen, I Theil, p. 24, v. 381, 428, etc. — D. Morice, Pr., I, col. 130).

V. 342. — Qu’à mes sermens.