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notes et corrections

V. 225. — Dessus, lire : desus.

V. 230. — Acquin, lire : Aiquin.

V. 234. — Charte, lire : chartre.

V. 238. — Guiestoit es estays.

Ms. ung riche homs qui y estoit est estays.

V. 239. — Fervestis, ms. fervestus.

V. 245. — Poivre, lire : poyvre.

V. 250. — Arabe, ms. arable.

V. 251. — Vers faux. En ceul poncel. — Littéralement : Sur cette estrade il y a un fauteuil, etc. Mais comme on n’a point encore parlé d’estrade, cette interprétation supposerait l’omission d’un vers. Poncel est ici, croyons-nous, une mauvaise lecture d’un mot provenant de porticus ou de ses diminutifs. Ce sens convient d’ailleurs à la description d’un édifice à colonnes.

Faulxtuel N. F. « je crois que fauxdestuel en vient. » — Fauxdestuel est au contraire la forme la plus ancienne, le copiste a estropié le mot. Ce vers et le v. 257 où il se rencontre sont également faux. (Cf. Dre Littré.)

V. 254. — Alexandrin.

V. 256. — N. F. « Niez, nuit — dis comme jour. »

V. 257. — Vers faux.

V. 259. — Empereris, ms. emperis. Le copiste, au préjudice de la mesure, écrit régulièrement emperis, en oubliant sans doute l’abréviation d’er.

V. 266. — Alexandrin.

V. 271. — Sus, ms. surs.

V. 272. — Qu’en Quidallet, ms. que en Quidallet.

V. 273. — Le ms. porte :

Juques au palays amont ont forment gauchis.

V. 274. — Fettis, ms. fellis. Au lieu de faitis (beau, bien fait), on peut, d’après l’orth. du ms., comprendre, sans correction foillis, feuillé.