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notes et corrections

V. 11. — Pongneours, ms. pongneour.

V. 19. — Vers alexandrin. Ils sont très-nombreux dans ce manuscrit.

V. 20. — Le roy, pour : ly roys ; emploi du régime au lieu du sujet. Plus loin, au même cas : celuy evesque, le bon roy, Charlemaine, etc. etc. — On comprendra qu’en présence d’un texte aussi défectueux, nous ayons jugé inutile de rétablir le signe des cas. Nous ne ferons cette addition que lorsque le sens la rendra nécessaire ; nous la signalerons ici ou à l’aide des parenthèses carrées d’usage.

V. 22. — Empereour, ms. emperour.

V. 23. — Moult, ms. abréviation mlt. L’orthographe constante du mot entier est moult.

V. 32 à 37. — Six vers alexandrins de suite, dénotant un essai de transformation de la mesure du poème.

V. 38. — Lours [cors]. Mot omis par le copiste. Le vers est par ailleurs tel que dans le ms. Dans ce cas, la [ ] du texte rend inutile la répétition du vers dans les notes.

V. 45. — Alexandrin.

V. 46. — Aeves, orth. du ms., comme saesy plus bas, ne fait que deux syllabes.

V. 47. — Entre ly Normens, etc., pour : entre les. — Nous ne relèverons pas les innombrables fautes contre la grammaire de l’ancien français qui remplissent le ms. que nous reproduisons. La confusion est complète, notamment en ce qui regarde la déclinaison de l’article.

V. 48. — Juqu’en Bretaigne, ms. juque.

V. 58. — Ce vers n’est pas faux, la seconde syllabe muette d’aient pouvant compter.

V. 62. — Nom ; lire : non (nomen).

V. 64. — Coneyn. V. N. « C’est Conan, le sire de Leon. »

V. 66. — Merïen. Id. « Merian de Brest. »