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faire autant de mal que de bien, sinon plus encore, à ceux qu’ils appellent les païens et dont ils ne se doutent pas qu’ils auraient eux-mêmes beaucoup à apprendre.

Venez vous asseoir encore une fois à notre table de famille, mon cher ami païen, après quoi nous vous laisserons retourner dans votre chère Corée, en priant Dieu de vous conserver longtemps votre vieux père, votre femme et vos enfants, et en vous disant : Au revoir ici-bas ou ailleurs !

HYACINTHE LOYSON.