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OÎ934 :)

fbr.cërnenïJj’oïné ; eï !e.fip : sHit !pas se/plier, sous

là’piain’de l’ouvrier ; aux formes, contournées et .’-•-s^Scïèûses-.’q’rii.cai !à’c1^risent..Jes’ ; cpn.struclio.ns.—’

rustiques ; ; ; un choc accidentel —pourrait briser le . meuble. Pu ;•détruire-l’ëdïfice ;, si, par sa ; masse, : . -elJé, : n’.epposâïtpas.une.résistaneesuffisante. , .’, ’, L)efer ; ne ; pfésentë.anciindeçes : in(îonvénïents g

niisâ^l’abri dë’l’pxydatipnv saiduréeest infinie ;

moihs-Jourd que la fonte ;àiràison 11 de ; saré- ■-. -sistânçe ;/ souple, nèrveuXy pouvant sé plier à

•ibutesfîês^fâffltaisïès’deJamain’ de l’ouvrier qui

Jp ; ntèt en. oëûvrè, — son.élasticité.résiste à tous

Jês. : chocs • : il offre, , sous Jé moindre : volume ;

l’ëlêrriént Je plus -solide et Jéplûs duTâbleqù’on ;

puisse.employer dans" les riieubles et con- •■str.uctions ; rustiques..Il, -restait ; à, trouver au fer

une ; forme-appropriée gà’/ : cette- : -destination ; . ïtf/ ; la«qu’emin, imagina’ déiùi : donner la plus , ; nâ{urèlle ; celle du bbïsbrut. Ses FEfisiiDSTiQîîES

;.•àritlâàtEûctûre.extériéuTed’ùnebrancheTevôtue)

dëson écprce : ;.la ; peiriturequi Jés-recouvre leur

en ; dbririeMl’aspect ;, Le bon -marelié- ;étàit’-une —cpriditionJ-essentielle : pour ; lutter avec le bois

-..côinnië ; eJéritentidé : ; constr.û’etîén. ::.elle- a été.
réalisée ;/et leur ; fabrication ; très simple ; rendleïtrf application-’ aussi peu ;coûteuse :-que -celle

—dn’fèr-.à’.. solidité-égale./. Comme tous les-fers —«pééiaux, . ils sont laminés ; ; JorsqueJe laminoir adëgrossiJë ; fer, ; etqûéractipn : ducyIiudre à cannelures, successivement plus petites, lui adonné

la gf.0.sseur : voulue, pnje ; passe dans des cylindres gravés : qui/lui donnent, .la forme rameuse et

noueuse de l’écorce. Il acquiert ainsi la structuré

esté rieure ; du bois ; ; la peinture, — qui Je préserve ; ..-de l’oxydation, Jûi-dbnne la< couleur.et complèté

la-ressemblance. :. V i

.lïeschaffij)i-d’application : de.ces sortës-de fers ;

«St-véritablement Sânslimites : kiosques ; ponts, —sièges ; grilles, treillages, ••.jardinières ; Wlièrës,

; aquariums, dès FERS RUSTIQUES se prétérit.mer—

vêilleûsem’entàitoiisJes’gen’resde construction,

'ct’Sûrtpat-àïeeaxiqui, par-JeûrEnatûrey doivent

pouvoir se placer aussi bien dans l’intérieur « ;âê’s"’app/aït’ements3qùe : :’daris les jardins. •

/L’invention :’de g M’. : -Jacquemiiï- n-ay : ant’ ; rien : ^liang4~ dans ; les ^procédés ; employés- pour ]a ! ..fabrication : ;’ des— fèTs/laminës spéciaux, -et : ne ;

poTtântqueïsûr ; la ; formeà- leur donner et sur’

tes" ; applications qu’on^peùit-ett’faire, il crut, .

; dans : ie :’prin.cipe, -pouvoiTSe ; b’G’rn : eri’àJesJï-vrër ;

à’l’état de matière première ;, d’élèments’de :

construction, quelâ.serrurerie ordinaire suffirait i •à mettre :ëaioeùvrë :: il’s’âperpût, bientôt qu’il y i

avait ; mieux’à faire ;, et ; que-pour assurer ; léi — ;, snecès :—delïdëe ;’qai constitue ; la.partiéesseniielie ; dé’son’.inventent, il ; lui fallait prendre ■ —iui-nîêmél’initiative de ; la ; fabrication, -créer - .’des ; mpdèles, et.sé. : meïtre. : ettmesurede satisfaire . directement aux besoins ; et- aux demandes des —consommateurs... ■

..Le.succès a justifié cette détermination de. M..Jacquemin, et lui a valu l’honneur decréer ainsi une-nouvelle industrie dont les profits ne sont pas seulement attribuables-àiui et à ses nombreux clients, mais qui a aussi sa part notable d’ans Je : bien général.

USINES MÉTALLURGIQUES DE BIACHE-SAINT-

W.AAST(Pas-de-Galais).—MM.OESCHGER et MËS-

■B’AGB/r-.Ainsiquel’adit M’.Rivot, dans sonrapportaûjury internationale l’exposition de 1867, « les exploi lations des mines métalliques exigent, en général, un ; temps considérable pour se dé-Velopperj’etla même observation doit/être faite pour les. ateliers de. préparation mécanique et pour/les usines ;’»■• Le libre échange, en^étendant ertcore. le ; champ deia-concurrence, a apportée à ces ; difficultés une aggravation.funesle pour les établissements doués de peu. de vitalité ; mais pour ceux dont les chefs ont pu unir l’énergie et ’^esprit d’entreprise à la puissance dés moyens.-, Je fr.ee- trade n’a ëlé’que la ; cause d’une stimulation favorable, : et ; tf a d’ait quehâter l’éclosion des germes de progrès, si lente à se /réaliser-sous J’empire des-conditions normales. Cetté vérité ’■ n’est pas si généralement admise qu’il soit inutile-de la répéter, et il èsthori, au •contraire ;, de saisir toute occasion.de la mettre en évidence. C’est ce que nous ferons, en parlant ides’usines de-Biache-Saint-Waast et de leurs propriétaires, MM. ; OEschger et Mesdach.

Cet rétablissement fût fondé par ; ces messieurs en :1846’, sur l’emplacement d’anciens moulins à huile-. DansJ’origine, on-nes’y occupait que de la-fonte, et du laminage du. cuivre rouge. ■Plus-tard, en’1850, et sous Je régimede la pro, llection, MM.-OEschger et Mesdach adjoignirent à cette fabrication une fonderie de. minerais de plomb argentifère. Ces ; minerais provenaient principalement-de : 3a Sardaigne, délîAlgéri’e, de la"France>et même de. l’Angleterre, et les quantités’traitées ■atteignirent bientôt un chiffre considérable ; —mais, — par suite de la-suppression

; complète des droits-d’entrée sur ; les plombs
brtils- en France, les : bénéfices se trouvèrent

tellement {réduits, qu’on dût se borner au- traitement dés cendres d’orfèvres.

Il est à regretter- que cette industrie sô soit trouvée ainsi paralysée ; car, comme le dit M. Rivot, « l’usine de Biache compte parmi celles qui ont pu réduire au minimum, les - pertes inévitables de métaux utiles dans le ’traitementmëtallurgiqùè. »

Malgré ces obstacles qui venaient- s’opposer àleur marche progressive ; les usinés de Biache ont continué de maintenir leur production sur le pied de fonte de 2,000 tonnes de minerai de plomb argentifère par an.

Obéissant à là force des circonstances, MM..OEschger et Mpsdacheherchèrenl à développer leurs moyens industriels sur d’autres