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ppttp condition premièrp dp jja ; transfQfniatiqn dp paris i a été remplié, d
s Ips limites où
ejlp pouvait }’être, eu égard au temps et aux cirçpinstances, dont il faut’toujours tenir eornpfpj mais i ; e ’qu’on n§ contestera pas., p’est.qup les questions 1 d édilité aient été librement débattues, ni-ôpè pendant la période la plus autoritaire, ef cela idans le Râbjnp’t de.l’pmperpur, au çensëjl des ministres, dans les cpmjté§ dp la. commission municipale, .-dans la prpss : p, i d|M les réunipnç pubijquesjipârtput enfin pu jlJOHJ= nipn pouvait se faire jour. L’expropriation, d’ailleurs, varappait périodiquement le débat devant la comrnisssipn des indemnités et devant le jury, dont les journaux enregistraient et commentaient les décisions.
L’oeuvre édilitaire s’est- donc acppmplié au grand jour, il faut bien le rp.çpnnaîlrp ; et] à pet pgaf^, ’plie ne resspnvblp en rien aux fastuflUsgs et secrètes fantaisies de l’ancien régime, i
On ne doit pas même la considérer absolument comme une npuyéanté» À toutes les ëppqups, ides jdiéps avaient été mises pn âyapt, 4ps.projets’ s’étaient fait jpur. ; idées et projets, ayaipnf revêtu la fprmp dp la ponyersatipn, dp la Ijrpphprp, jju’ livre ; du- nlan’mémè, car il existe dé nombreux plans fjp Paris ;.pù dps ligpes pbpptuées, trac’éps tantôt pap lp gray.euf, tantôt par quelque inteïligejit tpppgraplipi traduisent au regard les prégccup^tjpns é’dijjtairps d’un Jiprnme pu d !un siècle. Au premier pang de cps projets au burip figure le plan 4itjJ.es Artistes] qui pst Juj-mênie npe sorte dp jërsunié écjeptiq’up des meilleures ppncppt|pns éclipses pendant les deux derniers sjpcjes./Le pjan Ses Artistes étaitj à pe qu’on assure, le programme du premier empire ; ij ci inspiré en grande partie l’oeuyré diispppnfi.
La tr4nsfqr.mati.op dp Piafis, ainsi préparée, ne ppûyaijt ètpe embrassée dans son ensemble qu’à là condition fjg sp. répartir en groupés dp trayaux, en degpég dl utilité et d’urgence. On adopta d’instinct les jrpis djyisipns suivantes : . ÛEnvRE S14TPRIEI.1.E ; ■ ’..... ". — | - ;.-’ -
OEUVRE MORALE ; i
OEUVRE DE LUXE,
Péttp dernière catégorie prft naturellement lé dernjpKrang ; niais -pn se pjiépr.epdrait : s|nguljèrpmèrjt si l’pn çrpjait que {es projets
luxueux et fantaisistes sont.écjps à la dpfpiêrp. heure, avec la lassitude et la satiété des grands trayajix. Il ont dû ptrp dès l’Prigin.e, et ; ppur une certaine proportion., dans la pensée du , nouvel administrateur, paris n’est.pas.’ Lacéd’, ë- : m.piiefji et l’édilité.qui, contpntè dp subvenir aux nécessités ëgaliiai’rps dp la vie commune, , n’y sjpirifiprajt pas nnpéu.àl’art ; au faste même, . manquerait cprtain^menf àl’uji $e ses prpiniers, devoirs. Tel ne fut pas, h^Sfons-jûpus. fié lg : dire, j
le /défaut dp l’.àdminisfrfitipn qui a changé la fapp de Paris Ci)-, .
IJ œuvre matérielle appelait légion. II. fallait tout d’abord cr^er Jp Paris souterrain, ppudir tion indispensable du Paris.ep plein air. Or, Je Paris souterrain, ’ p’est l’pn§ ernblè de ces gâ ? Ipries.gigantesques, dp pps eqllgc.teurs et sousçollecteurs dé toute section, dont l’interminable réseau rppréspntp des. m}lj}§ rs dp kilomètres. Dans ces ypips ihyisjblps il fallait jetëri tpus les ruisseaux infects des vieux quartier^, faire poprir les tfiygux de plomb renfermant le gaz, ainsi’que les conduites dé fonte "disJribUant l’eau pptabjg, et établir entre pesdpux mondes, celui de dpsseps gt.celui de dessus, les.innombrables. eqnifnimicaiipns ; qup Jïpn nommé dps. reg(irds.-Yuis, cpnimp à un, SQUS-SQJ sj bien ordonné^ doit cprr.pgpon.drp une gUrfaçp corrpefpi, il devenait nécessaire de régler à nouypau lég trpttpirg, et ; igs’p}iaus§ éps, C’était hpauppup pour assainir la vieille cité ; ce n’était pas. as ;spz pour.la.désobstruer. L ?habitation sédenr ; t^ire a gps-nécessités ; mais la circulation a ses exigences, Pn ’.mouvement, de passants, et dp ypiturps devenu double, ppis triple, puis -4é-Pupjp, entrâînp, comme. iQnsépUî.nsp jnéyitetgbjp, Un agrandissement proportionnel delà Vpie publique, Et alprg a dû se pré.sipntpr. Je dpuble problème dp l’.ëlargissempn’l pt-du percement, problème qui, semblable àlaRéyplu- ;
— tipn •française, divise engprp les nielleurs esprits,
. Étant, donnée, la nécessité d ?une.transforrnar. tion ridicalp dp la voirie parisieniip, quel était Ip mode Je plus conforme au jipn’ sens pt I la tradition, léplus rapide pt le mpins ppûteux à pxépptpr, le plus approprié pnfinaiix.besoins 4u Paris de l’ayènir.’ ? Il n’y àyaij, point à liési^ ter V S’était, c’est, encore le percement. Lp mode rival, l’élargissement, a pu -d’illustrgs. défenseurs ; mais il. ne supporte pas ; un seul instant la.discussion, Il çommenge par dépeupler toute une rp ; il pn Pliasse prppriéfairçg, et Ipeat.airps, . commerpe, industrie, population boufgepise et ouvrière, qui, lie ppuyanf, attens drp, daps une installation provisoire, les cinq pu sjx années népèssairps aux pxnrpprialipns, puis aux déniojilions, puis à l-oeuvre.propre des inr gépiéurs, puis, ,à la ppgslr.nc.tipn des maispns. npuvpllps pi àu.s.échagp des appartements, (Si-fip* ; fin à Hfppngtipn.dv quartjpr, np reviennent pas, . lé plus spuyenj, (le leur.émigration, pt abàpidonnent au hasard les destinées de la yoip nouvelle. :Pprtufbàteur par excejl.ence, le sygr
(1) On prête à M. lébaron Haussmann un mot qui est la traâUfitidn de pétte idée en term’es’guelque peu exagériç -• /’ 3e M ? }9.sàper.fiv, .aurait dit l’érnipeut à.amimsfrateur ; le nécessaire se fera toujours/après pioi. » Siib^propos est’vrai, ’ce iie serait, ’après’-|buï ;’g]iljnjby^ rite fortement aèéérïtuéè’ et revêtant, ■ pour ’fâîrè’son chemin, la forme piguante dù’pafadoïé’ :. — "
