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LE DHARMASINDHU

lant, c’est-à-dire que le nom de la onzième Tithi doit être prononcé et non celui de la douzième. Mais je suis d’avis que lorsqu’il s’agit d’autres rites, tels que les trois cultes quotidiens, l’offrande au feu, etc., il faut prononcer le nom de la Tithi, que ce soit la douzième ou une autre, qui renferme le moment (auquel ces rites sont célébrés).

La déclaration des rites peut se faire à l’aurore avant le lever du soleil, ou au matin après le lever du soleil pendant les deux muhūrtas[1] qui précèdent immédiatement la troisième muhûrta(qui est interdite).

Telle est la description de la première Tithi, le septième chapitre.


  1. Une muhūrta vaut deux ghaṭikas ou quarante-huit minutes (voir note 31).