Page:Annales du Musée Guimet, tome 22.djvu/91

Cette page n’a pas encore été corrigée

ZKND-AVKSTA : Vi : M) I II A I). I AI’JiAHI» 3 /ir> monde inCoinal ; elle le fi’ta (ihiiImt iiiscin’iiii plus inoroml «le raliime". IV

30 (122). Créateur du monde des corps, saint !

Si un liomme enterre uu cadavre d’iiotnine on ini cadavre de chien, cl ([Ml ! la niitilié de l’anuiM’ se passe sans ipTil le (lél(îrre, (pielh- scia la peine" ?

Aluira Ma/da rci)OU(lil :

Cinq cents coups d’.spaliè-a>lili"i, cinq cents coups de SraoslnVcarana "’.

37 fi28). Créateur du monde di’s cor|)s, saint ! Si uu homme ciiteric un cadavre ; d’imuinie on un cadavre de chien, et que l’année se passe sans qu’il le d(|crrc. quelle sera la peine’.' Ahura .Mazda répondit :

Mille coups d’Aspahè- ashlia, mille coiq»s de Sraoslio-carana. 38 (i :i"). Ci’éateur du monde des corps, saint ! Si un homme entende un cadavre d’homme on un cadavre de chien et que deux années se passent sans qu’il le déterre, quelle sera le payement, «piclle sera l’expiation, quelle sera la purilicalion "-’ ? 07. acislitcin nhùm « le monde pire », s’oppose à valiisliloni .iliitiii, le monde (excellent, le Paradis, le /mhi.sht ; le nom usuel de l’enl’er, (1ii/.li ;ili, p. diiz/)iil :/i, fs lilleralemeal « le mauvais monde », <lij7.li- ;>ii(u).

08. Traduction conjecluralc : vispac-i avi lij ;l»r.i iiim ;il ;i. I.c pelilvi Ir.idiiil : liarrisji madam ol llli afyùnâtct (lire afgiininct) », il la fait tomber sur tout Ith » ; il ajoute en glose : >< partout où il tombe, il tombe siir^/7/ ». (Juel est le sens de (i/i1 l.o manuscrit de Municti traduit di’izakli « l’enfer », et l’ih seiul)le avoir ce sons au Vd. IX, 0, 19, apiiUitar l’ili, Iradiiil dans le mémo maniisci-il ^j_«j ^_ a." JU. Ijl : « àvakhtnr est / !//, c’est-à-dire l’enl’er». tijflira est littéralement » pointu » et 4 « le fond » pourrait être primitivement h la pointe ». Mais le mot se dit aussi d’un couteau (Vd. I.’, 10, 21) ; et l’on pourrait entendre que « partout où il tombe, il tombe sur des couteaux ». nimala a les apparences d"uu sul)stanlif que (pialilie lijflira, mais le pelilvi V voit un verbe (nam’.'), el nous le suivons, l’aule de dciiiiii’e [dus |U’r'cisi.’. 09. Cf. S 8.

70. fillia, lôjis/iii ; proprement applii|ui'> ;’i l’expiation en arf ;eiil ; voir nob- 7’2. 71. Voir sur celte formule l’liitrodueli<Mi générale au Vendidad. 7’2. ( ;es trois termes ritlia, àpi-rctisli, >.’io/lHl :°itlirriii sont respeclivi’iiicnl i^losi’s :