vées par ailleurs, comme le siège de Ivhslialhra-sùka, le fort de Kaiilia.
par Tusa (V, 53) ; la légende de Vifra Navâza, jeté dans les ai ; s par
Thraêlaona (V, 61) ; et tous les exploits de Keresâspa.
A côté de l’épopée royale, il y avait d’autres épopées^ féodales ou
locales, dont l’épopée persane, toute bornée à la légende royale, n’a rien
conservé. Ainsi perce obscurément dans la légende, la geste, peut-être
arménienne, des deux Ashavazdah et de Thrita (V, 72-73), luttant
contre les Dânus touraniens ; lalégendede la pieuse famille touranienne
des Fryâna et l’histoire d’OEdipe et du Sphinx transportée sur Yôishta ;
la légende d’Urvâklashaya, l’homme de justice, tué par Hitàspa et vengé
par Keresâspa, son frère ; la légende de Karesna, un doublet inconnu do
Vîshtàspa, peut-être éponyme de la grande famille historique des Kàren ’.
1. Je crois qu’il ne sera pas inutile de donner ici la concordance des cinq Yashls
épiques. Nous marquons en romain les héros qui appartiennent, direclemenl ou
indirectement, à la légende royale ; en italique les héros ennemis ; en caractère
gras les héros des gestes indépendantes.
Aban Y.sut.
Sacrifient à Anàhita :
Haoshyaiiha (21).
Yima (25).
AzM Daliûka (29).
Thraètaoua (33 ;.
Keresâspa (37).
Frahhrasijan (41).
Kava Usa (45).
Husravah (49y.
Ïusa(ô5).
Les fils de VtUsaka
(57).
Gosii Y.siiT [et.siii
Yasat].
Sacrifient à Drvàspa :
Haoshyaiiha (3).
Yima (8).
riiraêtaona (13).
Ilaoma [M).
Husravah (21).
ItAM Yasut.
Sacrifient à Vayu :
Haoshyaiiha (7).
Takhma Urupa (141
Yima (15).
Aziù Dahâka (19).
Thraètaona (23).
Keresâspa (27).
wvasdra ^3I)
Zamvad Yasut.
ObtiennentleHvareno :
Haoshyaiiha (26)
ïakhma Urupa (28).
Yima (31).
Mithra (35).
Thraètaona (36).
Keresâspa (38).
Atar (46).
Frnnlirasyan (56).
Kavi Kavàta.
.Vipivohu.
Usadhan, Arshan, Pisina,
Byârshari.
Syàvarshâna (71).
K. Husravah li).