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ANNALES DU MUSÉE GUIMET


FARGARD 18

I (1-12). Du prêtre indigne qui ne se conforme pas aux rites orthodoxes (1-4) ; qui ne veille pas pour étudier et pratiquer la loi (5-6) ; qui enseigne de fausses doctrines (7-10) ; — du mal qu’il attire sur ceux qui l’emploient. II (13-29). De la sainteté du coq, l’oiseau de Sraosha, qui éveille le monde pour la prière (15-16, 24-25) et pour que le fidèle entretienne le feu que le démon Âzi menace d’éteindre. Trois fois la nuit, le feu crie au secours ; à la troisième fois, Sraosha éveille le coq et le coq éveille le fidèle. III (30-59). Des quatre péchés qui rendent la Druj enceinte d’une progéniture de démons : comment en détruire l’effet. IV (60-65) . Du mal causé par la Jahi (la femme de mauvaise vie) ; elle mérite la mort.

V (66-76). Expiation du péché commis en ayant commerce avec une femme dashtdn.

1. Il en est plus d’un, ô saint Zarathushtra, qui porte un Paitidâna irrégulier’ et n’est pas ceint de la Religion. Il ment quand il prend le 1. p.iitidànem ainlui, padtim zakdi [zakâi = : autre ; cf. Eludes iraniennes, I, 171) ; un padùm autre qu’il ue faudrait. Le sens général de tout le morceau est donné