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1G2 ANNAI.KS DU MUSKK (iUlMET

Combieu valeul ces trois pas ?

La valeur d’une enjambée ’".

<Jue vaut une enjambée ?

Neuf pieds.

lu (22). Tu tireras alors un sillon alentour avec un couteiiu de Khshalhra Vairya".

A ([uelle distance des trous ?

A trois pas.

Combien valent ces trois |ias ?

Une enjambée.

Oue vaut une enjambée ?

Neuf pieds’-.

Ensuite lu tireras douze sillons ; lu lii’ci’as li’ois sillons qui enlourenl et séparent trois des trous ; lu tireras trois sillons qui entourent et séparent six des trous" ; lu tireras trois sillons qui enlourenl el séparent les neuf trous ’ ' ; lu tireras trois sillons entourant les trous inférieurs, en dehors [des six autres]’".

10. yatha jfîiiQàn liaùca^ula : cand gâmàn (jdindiici haincisknUi ijansagûnêt ( ?j aiiakhiûnùl ; ce qui revicnl à dire : autant ((u’on embrasse quand le pied se lève et se pose.

11. lijrhi’a Itlisliallira Vairja ; c’csl-à <lire un CDuleau de inélal ; lill. « avec (tu ivlisliattira Vairya (vol. 1, 24) Iruuclianl ». 12. Il s’agit sans doute du pied pris en largi’ur, non pas en longueur. 13. Ihrâyô yim aùtare vita antarc llirâyô ma^,’lia ; litt. « trois [sitlons] à l’inlérienr desquctssont séparésintérieuremenltrois Irons» ;it s’agitdela première série detrois sillons — les sillons marqués en rouge sur le plan IV — qui enveloppe ol isole les trois premiers iroas kgùinfiz.

14. Les trois sillons noirs qui enveloppent la [tremière série de sillons el la seconde série de Irous à fjôinêz ; bref qui contiennent tous les trous à. gômdz. IT). Les trois grands sillons extérieurs ({ui enferment tous les antres. 10. llirûyù aùlarcca ava afitare pîiceritarc luajjlia ; .’( min andarg avarûiUnr lire avec K" avaitare ?)/j«H viià parùntar î pun gômèz dur ’i magli : « trois [sillons] ; l’intérieur, au-dessous, contenant l’eau, en debors de ceux conlonantle gômêz ; avec trois trous ».

— La sens de pâreillare » en debors » est donné par IX, 33. — 11 s’agit des trois sillons, marqués en bleu, qui entourent les trois trous îi eau. — Les Parsis de l’Inde répartissent autrement les sillons et les trous : voir le plan dans Anquotil, 11, 546 ; mais ce plan ne se concilie pas avec les indications de l’Avesta et l’on sait que les l’arsis de l’erse suiv( !nt un autre plan ipii est probablement celui du Vendidad. l.,’ol)jet de CCS sillons, observe .M. West [l. /., page i3(), note 1), ([ui sont creusés