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FARGARD 5

Ce Fargard et les suivants, jusqu’au douzième inclusivement, traitent en particulier de l’impureté contractée par le contact d’un mort et des moyens de ramener la personne ou l’objet souillé à l’étal de pureté. 1(1-7). Si un homme involontairement souille le feu (h/, 1-4) ou l’eau (I(^, 5-7) en y portant inconsciemment de la matière morte (nasu), il n’entre pas en état de péché.

II (8-9). Innocence du feu (II «, 8) et de l’eau (II 0, 9), qui semblent quelquefois tuer, mais ne tuent pas.

III u (10-14). Comment disposer du corps des morts en hiver, quand il est impossible de les porter au Dakhma.

III ô (15-20). Pourquoi .hura, qui défend à l’homme de souiller l’eau, fait tomber l’eau du ciel sur les Dakhmas chargés de cadavres, pour les purifier.

III c (21-26). Kxcellence de la pureté et valeur suprême de la partie de la Loi zoroastriennequi enseigne les moyens de purification. IV (27-38 = Farg.YI, 6-9). L’aire de contagion de la Druj Nasu (le démon de corruption caché dans les cadavres) est plus ou moins large selon que la vertu du moitié met plus ou moins haut dans l’échelle des êtres. V (39-44). Purification des iiistrumenls du sacrifice souillés par contact avec la nasu.

T. ir. 9