ZEND-AVESTA : VEMIII) A I). — I AIKiAlil» i W
50 (143). son crime sera traité là-bas" des pires peines connues ici-has : comme si avec des couteaux d’airain on découpait membre <à membre son corps périssable’*-, ou pis encore.
ol (i0). Son crime là-bas sera traité des pires |)eincs connues ici-b :is : comme si on enchaînait les membres de son corps périssable avec des chaînes d’airain, ou pis encore.
52 (liî’). Son crime là-bas sera traité des pires peines connues ici-bas : comme si on le forçait ;i se précipiter d’une hauteur de cent hommes", ou pis encore.
53 (152). Son crime là-bas sera traité des pires peines connues ici-bas : comme s’il était exposé de force à ", ou pis encore. 54 (154). Son crime là-bas sera traité des pires peines connues ici-bas, l’homme qui, devant l’eau de soufre et d’or, devant l’eau qui sait*", conde, celle à laquelle se soumit Adafbàd Mahraspand, afin d’établir l’orthodoxie par un signe évident, on recevait de l’airain fondu sur le co’ur. I,e S/jr^and Nàmn, ou I^ivre du Serment [Grand llivàyal), pour adapter la pralif|ue à l.i faiblesse moderne, substitue le lait bouillant à l’airain fondu. D’après le Sôgand Nàma, l’épreuve n’a lieu qu’à la dernière extrémité et ([uaiid les parties la demandent : chacune d’elles s’engage par écrit, avant d’y procéder, à payer à l’autre, si elle succombe, le quadruple de la valeur contestée. — Outre les passages cités dans le premier volume (p. li’27, note 15j, l’Avcsla fait encore allusion au Vm- dans le Yasht de llashn, § ’i, et Afrin (Jàliànbàr, § !). 41. avallia, lamiiinn << là-bas >>, dans l’autre monde. JJttèralement : " Là-bas il on est de ce crime de la façon que l’on sait dans ce monde corporel » : la suite prouve qu’il s’agit de supplices.
42. Le supplice infligé par l’arysatis à lloxanc ; -r,-’ I’m :^*/, ; I’mt/.v /.z-arciAETv (Plutaboce, Arlaxerxès).
43. Peut-être mieux : « si on clouait son corps... avec des clous d’airain •< (fshébish ...ava-pasàj).
44 vaèmnm, vim ; cf. Farg. Vil, note 8
45. pàrcm mnrczem, pavanlûm marz. .le ne puis rien tirei’ de la glose. lr ;’imjl semble entendre qu’il s’agit de coups de bâton.
40. Avant d’afTronter l’épreuve du Var et de prêter le serment, le plaideur qui le prend doit boire une coupe contenant, dit le SAfjrnul Nàma, de l’eau, du narm’inn ( ? <i ;^jr"), de l’encens, du soufre (j/^ a.1. Jj^I), <Iu jujube ’w^,. et un dàuak d’or en solution («j’jj *^ éXlj).
Dans le texie zend saokcftiavailim (âpcm) répond an soufre : car il est traduit yùkarl-’hnand [sic P. 2G, au lieu de liûknrl-6mand de l’édition itn|)riméc) : donc 8aol ;r>fkla esl le rj/ikard, le soufre (de suc « brûler .. ; c’est l’origine de sokand, serment : prendre un serment ou, pour prendre la locution consacrée, " boire un serment’