Le Zôt.
Le désir (lu Seignour... — «luo le Zaofar me le dise ! /,(’ Itâspi.
Le désir du Seigneur... — que ce prêtre Zaotar me le dise I Le Zôl.
C’est la règle de sainteté. Que le saint qui la connaît la proclame ! A partir d’ici jusqu’à la fin du Karda le Zôt passe sur le Barsom le zùr tdê. Karda I.
Le Zôt et le Rftspî ensemble :
2. Nous sacrifions au pieux Sraosha, h la belle taille, victorieux, qui accroît le monde, saint, maître de sainteté ; Le Zôt seul.
Qui, le premier des créatures de Mazda, ayant lié les faisceaux de Baresman, sacrifia à Ahura Mazda, sacrifia aux Amesha-Spenias, sacrifia au protecteur et au formateur qui a formé toute la création 3 ". Pour son éclat et sa gloire ; pour sa force et sa puissance victorieuse ; pour ses sacrifices aux Dieux ", je veux lui offrir le sacrifice traditionnel * ; l’arme», est traduit shlkuft zhi « à l’arme étonnante », camatkàra castra «l’arme qui étourdit, qui stupéfie ».
5. pàj ù thwùreslitàra, duel avec verbe au duel, thwcresatô. Le Commentaire pehlvi ne tient pas compte du duel et traduit « le protecteur et formateur, Milhra » [pânak barinkar MUrô), comme fait Nériosengh au passage correspondant du Hà XLII, 2, note 3. Mais il est difficile d’admettre que le dvandva désigne une simple dualité de qualités et non de personnes, et comme on voit ailleurs Abura et Mitbra formant un dvandva à la façon védique (1, 11, note 39), il est probable que pâyù thwùreslitàra désigne non pas « Mithra ». mais « Ahura et Mithra ». Le commentaire n’aura pas reconnu .hura parce qu’il était déjà nommé. 6. §§ 3-4, formule terminale de tous les Kardas du Yasht. — Le § 3 reparaît comme formule de style dans les invocations des Yashts, le nom de l’Izad invoqué variant seul.
7. Voir § 2.
8. surunvata jasna, litt. <c sacrifice qui entend [de la bouche du Dàstùr] ; çrûyamdna
ijisnyd gurumukhena ; phi. pun zak i iiyôkhshmand Izishn pun dastùrân » ;
{{persan}}
[en écriture {{arabe}}
?], c’est-à-dire un sacrifice conforme aux rites.