les lieux mondes au inoy(Mi de ; rainiiii l’oiulu-’*, lu aflliges le méchanl et
fais le bonheur du juste -’.
10. L’homn :ie qui me perd, ù Ma/da, en m’écarlanl de celle loi ’", cet homme est dans le monde [d’Ahura] un fils de la Druj ; il est de ceux qui appartiennent au Mauvais^-- Et moi j’appelle ta moi Asha" ; oui, loi-inème, bonne Ashî ^
I. Oui sera un ami pour Zaralhushlra, le Spilàma, ô Mazda ? — Qui de
vous s’entretient avec Asha ? Avec qui de vous Spenla Armaili ’" ? Qui de vous a la sagesse de Vohu Manô^’ ? Qui est droit en toute pureté ? 28. ilalilisliloni tlàvôi, lill. « pour donner, de façon à donner un signe ». — ahvàliù redoublement de alm. Il s’agit « de la double épreuve avec le métal fondu (XXXI, n. 15), qui a lieu dans ce monde et dans l’autre ; dans ce monde, elle manifeste en justice l’innocent et le coupable ; dans l’autre monde elle sert au tourment du méchant et à la joie du juste » {madarn pasdkhl i marlùm stUkpun ic lani jiaa’ni pmi (ilnsli û dsîni vUàkht : pun stî bôkhl u êrakht madam dîna palash padtàk yahvûnt ; pun tan ! pashi darvandàn réshUù/an ahlavàn râmînUan ; Dînkart, IX, 44. ’1 1 , 29. i-àshayanhè... savayô : peut-être : « en aflligeant le méchant, tu fais le i)onheur du juste » (ràsliayanhè étant pris pour un datiC verbal). 30. I.ilt- « en m’écartant de ceci ».
31. hvô dàniùisli drùjù luinusli ; lilt. « celui-là est du monde le fils de la Druj ». Iiunush, hùniushk, est le sanscrit sùnusli, mais se dit des petits des è’res ahrimaniens : kavp Zariùhashtdarsûràk i làmushkàn zakallûnlnki gurg a/gant « le Karpjeta Zoroastre dans le trou des petits d’un loup tués » [Dhikart, VII). Le Commentaire pehlvi de notre passage ajoute cette glose : « faire le mal aux créatures d’Auhrmazd, c’est s’assimiler au hùnushk deZanâk Minôi ». Ce hûnmhk à’ khnm&n est Arzîtr, l’Arezùra de l’Avesta (Vd. III, 7, 23) : un texte pehlvi sur les merveilles advenues le jour Khordàd du mois Farvardin, place ce jour le meurtre d’Arz^r, le hùnushk tKhYim3.n, par Gayomart (Gayôkmart krvAri Aharman hàtiushkhacà zakallûnt ; cf. Minôkhard, X.VII, t4 et Albîrîjnî, Clironologg, p. 100, où le nom est déformé en khrûr, par chute du : dans l’original pehlvi). hùnushk s’emploie au pluriel pour désigner l’engeauce des démons : shèdàdn udrùjànu hùnushkàn » les démons, les Dnij (démons femelles) et [leurs] petits ».
32. . .liriman.
33. Je veux appartenir au bien.
34. vaiihuyà ashl gat le : vanlnijà semble un nominatif féminin de vanliu pour vaniihi ; sur Aslii vaiinhi, la fortune qui récompense le vertu, v. Yt. XVll ; l’adverbe gat est traduit étymologiquement yàmalùn ; XLIII, 1 c, note 3. 35. Pour cette stance et tout le développement qui suit, cf. XLVI. 14 et suite et le Hà LUI.
36. àfrashià, ham pursêl. Qui de vous s’inspire de la justice ? s’inspire de la piété ? 37. ké va varil :éusli mananliô acistà : acistà, frirjanak ; nominatif du nom d’agent
- à-cistar, parallèle à àfrasiilà ; revient à « qui a la cisti, algh farjdm i mandùm pun