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ANNALES DU MUSÉE GUIMET

Le Zôt prend dans sa main droite la soucoupe aux neuf trous 22 [nô surnkh tns/d), la remplit dans la cuve et la met sur la coupe à jîvâm 24.


Nous sacrifions aux âmes des morts, aux Fravasliis des saints.

Yêhhê hâtâm.


Le Hâspi met de IVs// ? fjôi sur le feu 25.


Le Ras pi

Le désir du Seigneur... — que ce prêtre Zaolar me le dise  !

Le Zôt.

Est la règle du bien. Que l’homme de bien qui la connaît la proclame  !

Le Zôt, en disant ces mots, frotte le pilon intérieurement contre la cuve‘^'.

22. En bouchant les trous avec la main. Cette soucoupe est le filtre  : voir Y. XXVll, 7.

23. Qui contient de l’eau pure, « l’eau de Ilaoma » (Apem liaoiuyàm ; Y. XXll, 2, note 5).

24. L’édition imprimée a « sur la coupe placée près du Màhrù » ; mais le vieux Yasna gujerati de Dastùr Hôshang a plus explicitement /îadm ? ! ? vûl) uparl rnûki.

25. êsm htn annklilùnl ynkoyamûnît var î âtdsli yndrîmishn (Pt*).

26. Ou plutôt l’Âtarvakhsh  : car le Raspi vient de revêtir cette qualité en mettant la bûche sur le feu.

27. .Avant de le retirer  : voir le début du Ilà suivant.



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