Hod chen-po, treizième Buddha de l’Âge heureux (Mdo i).
Hod-mahi-ts’al, nom tibétain de Venuvana. Voir ce nom.
Hod-phro, vingt-troisième Buddha de l’Age heureux (Mdo i).
Hod-srung, traduction tibétaine de Kâçyapa. Voir ce nom.
Hod-srung-chen-po, traduction tibétaine de Mahâ Kâcyapa. Voir ce nom.
Hphags-rgyal, traduction tibétaine de Ujjayani. Voir ce nom.
Hphags-skyes-po 1. Fils de Prasenajit, roi de Koçala, détrône son père, le chasse et se met à sa place (Dulva x. 141). Il attaque les Çâkyas et détruit cette nation après une longue guerre (Dulva x, 145-160). Il périt dans un incendie (Dulva x, 160).
Htab-bral, traduction tibétaine du nom de Yama. Voir ce nom.
Hts’o-byed (Gjonnus-Gsos), fils adultérin de Bimbasâra et de la femme d’un marchand de Rajagṛha (Dulva iii, 92) ; étudie la médecine, apprend l’art d’ouvrir le crâne et devient un médecin accompli (Dulva iii, 04). Ses cures remarquables ; il est déclaré prince des médecins (Dulva iii, 104-107) ; son entrevue avec Çâkya et ses progrès dans le soin des maladies physiques et morales (Dulva iii, 107-8).
Huluta, chef des serpents du Kaçmir, dompté et civilisé avec ceux de sa race par Madhyantika (Dulva ix, 688).
Indra, roi d’une classe de dieux brahmaniques, adopté par les bouddhistes qui l’appellent habituellemcnt Çakra et Çatakratu, quelquefois Kauçika. Son emblème est la foudre, Vajra (Rgyud xix, 12°).