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ANNALES DU MUSÉE GUIMET

7. Tathâgata Vaidûrya prabhâ-nâma bala-dhana-samâdhi dhâranî[1], tib. De-vjin-gçegs-pahi ting-ge-hdzin-gyi stobs-skyed-pahi-vaiduryahi-hod-ces-bya-vahi gzungs, དེ་བཞིན་གཤེགས་པའི་ཏིང་ངེ་འཟིན་གྱི་སྟོབས་སྐྱེད་པའི་བའི་བདྰུརྱའི་འོད་ཅེས་བྱ་བའི་གསུངས​ : La splendeur ou l’éclat de Vaidurya, dhâranî pour accroître les énergies de la méditation profonde sur le Tathâgata. Ce Sûtra fut aussi prononcé par Com-dan-das (Çâkya), à la demande de Manjuçri ; il roule sur le même sujet que les deux précédents, principalement sur les prières de quelques Buddhas, pour le bien universel de tous les êtres animés. Traduit (dans le neuvième siècle) par les mêmes que ci-dessus ; corrigé ensuite et mis en ordre par Dipankara çri Jnâna (vulgairement Covo Atiça du Bengale) et par le Gelong Ts’ul-khrims-gyalvaToling en Guge), dans le onzième siècle.


VOLUME XI. — (Da)

Vingt ouvrages distincts :

1. Mahâ mani vipula vimâna-viçva-supratiṣṭhita guhyan paramarahasyam kalpa-râja-nâma dhâranî, tib. Nor-bu-chen-po-rgyas-pahi-gjal-med-khang-çin-tu-rab-tu-gnas-pa-gsang-va-dam-pahi-cho-ga-jib mohi-rgyal po jes bya-vahi gzungs, ནོར་བུ་ཆེན་པོ་རྒྱས་པའི་གཞལ་མེད​་ཁང་ཤིན་ཏུ་རབ་ཏུ་གནས་པ་གསང་བ་དམ་པའི་ཆོ་ག་ཞིབ་མོའི་རྒྱལ་པོ་ཞེས་བྱ་བའི་གཟུངས་ (folios 1-40). Dhâranî contenant une description de rites sacrés et de cérémonies. — Salutation : Adoration au Buddha et à tous les Bodhisattvas. — Prononcé par Com-dan-das (Çâkya) ou Bhagavat, à la demande du Bodhisattva Vajrapâni (Chakna Rdorje) son acolyte. Sujet : Doctrine mystique et morale, description de mandalas, cérémonies, mantras ou incantations.

2. Bodhigarbhâlankâra-lakha dhâranî, tib. Byang-chub-kyi sñing-po rgyan-hbum gyi gzungs, བྱང་ཆུབ་ཀྱི་སྙིང་པོ་རྒྱན་འབུམ་གྱི་གཟུངས (folios 10-41). Dhâranî renfermant cent mille ornements de la sainte essence (Bodhigarbha).

  1. Il faut lire bala-vardhana comme ci-dessus, Mdo XVXVII 1°.