དགའ་བོ་རབ་ཏུ་བྱུང་བའི་མདོ. Sûtra sur l’entrée de Nanda dans l’ordre religieux de Çâkya (folios 401-405).
Il demande à Çâkya ce qu’on peut obtenir en adoptant la vie religieuse, et Çâkya lui énumère les divers avantages qui en résultent[1].
26. Devatâ-sûtra, tib. Lhahi-mdo. ལྷའི་མདོ (folio 405-408). Maximes morales versifiées exprimées sous forme de dialogue entre Çâkya et un dieu qui était venu le visiter pendant la nuit.
27. Alpa-devatâ-sûtra, tib. Lhahi-mdo ñung-gu, ལྷའི་མདོ་ཉུང་གུ Petit Sûtra d’un dieu. » Un dieu, visitant Çâkya, lui demande, en vers, par quelles œuvres ou quels mérites on peut obtenir le ciel ; et il lui répond (toujours en vers) que c’est en ne commettant aucune des actions immorales qu’on peut gagner le ciel ou le paradis (folios 408-409).
28. Candra sûtra. tib. Zla-vahi mdo. ཟླ་བའི་མདོ (folio 409). (Çâkya à Campaka (Sk. Campa-vati). La lune étant saisie par Ràhu, un dieu qui réside a recours à Çâkya et implore sa protection. Instruction que lui adresse Çâkya[2].
29. Kûtâgâra-sûtra, tib. Khang-bu brtsegs-pahi mdo. ཁང་བུ་བརྩེགས་པའི་མདོ (folios 410-4151. À la demande de Kun-dgah-vo, Çâkya dit les mérites qu’on acquiert en observant certaines cérémonies religieuses.
30. Point de titre sanskrit, tib. Gnas-hjog-gi-mdo, གནས་འཇོག་གི་མདོ folio (421). Sûtra sur un brahmane de ce nom ou Kapila le Ṛṣi. Sa conversation avec Çâkya à Ser-skya (Sk. Kapila). Après une instruction donnée par Çâkya, il prend son refuge en Buddha.
31. Nandika-sûtra. tib. Dgah-va-can-gyi mdo, དགའ་བ་ཅན་གྱི་མདོ (folio 415). À la requête de Nandika, sectateur du Buddha, Çâkya énumère les conséquences funestes des dix actions immorales.
32. Point de titre sanskrit, tib. Hkhar-gsil-gyi-mdo, འཁར་གསིལ་གྱི་མདོ. Sur l’emploi par les prêtres d’un bâton chargé de quelques ornements sonores.
33. Dharma-cakra-sûtra, tib. Chos-kyi hkhor-lohi-mdo, ཆོས་ཀྱི་འཁོར་