14. Râja-deça, tib. Rgyal-po la gdams-pa, རྒྱལ་པོ་ལ་གདམས་པ (folios 332-337). Avis ou conseil à un prince. Çâkya parle à Gzugs-can-sñing po (Sk. Bimbasâra), roi de Magadha, sur l’instabilité, les misères de la vie dans l’existence de ce monde et sur l’heureux état qui doit suivre la délivrance finale.
15. Râja-deça, tib. Rgyal-po-la gdams-pa, རྒྱལ་པོ་ལ་གདམས་པ, folios 337-339. Instruction de Çâkya à Hchar-byed, འཆར་བྱེད་, roi de Badsala[1], བདག་མེད་པ.
16. Ajâlaçatrukokrtya-vinodana, tib. Ma-skyes dgrahi hgyod-pa-bsal-va, མ་སྐྱེས་དགྲའི་འགྱོད་པ་བསལ་བ, folios 339-427. Comment furent dissipés les regrets de Ajâtaçatru (roi de Magadha), qui avait causé la mort de son père Bimbasâra. Instruction de Çâkya sur plusieurs sujets, dans un entretien avec ses principaux disciples, tendant à la consolation de ce roi[2].
17. Çrîgupta, tib. Dpal sbas, དཔལ་སྦས་, folios 427-451. Histoire de Çri-Gupta, maître de maison à Mñyan-yod (Sk. Çrâvastî). Sur l’avis de son guide spirituel qui est nu, il s’efforce de faire périr Gautama (l’imposteur) ; mais, convaincu plus tard des qualités divines de ce personnage, il prend son refuge en Buddha.
18. Karma-âvarana-viçuddhi, tib. Las-kyi sgrib-pa rnam-par dag-pa, ལས་ཀྱི་སྒྲིབ་པ་རྣང་པར་དག་པ, folios 451-473. Instruction de Çâkya au Gelong Dri-med-hod à Yangs-pa-can, sur la manière de redevenir pur après avoir commis un adultère.
19. Karma-âvarana-pratisaranam (ou pratichedanam), tib. Las-kyi sgrib-pa-rgyun-gcod-pa, ལས་ཀྱི་སྒྲིབ་པ་རྒྱུན་གཅོད་པ, folios 473-400. Instruction de Çâkya, à la demande de Çârihi-bu. sur la manière de rejeter toutes les imperfections et de devenir parfait.
- ↑ Voir kont-skos, 25. (L. F.).
- ↑ V. pour les faits auxquels ce Sûtra se rapporte Dulva, v. IV et IX. (p. p. 181 et 189 ci-dessus). (L. F.)
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refuge et non pas trois ; — que la doctrine du grand Véhicule se distingue de celle des Çrâvakas. — Les Buddhas des dix provinces expliquent à Mañjuçri que Çâkyamuni est leur corps comme Angulimalî et Mañjuçri sont aussi des incarnations d’autres Buddhas (Le Bouddhisme, p. 154).
Le Sûtra pali qui porte le nom d’Angutimala se trouve dans le Majjhima-Nikâya (Majjhima paññasa IV, 6). Il me paraît ne ressembler an sûtra tibétain que par l’identité (ou, du moins, l’identité de nom) du héros. (L. F.).