Feuille 37-38. — Çâkya à Yangs-pa-can. — De l’emploi de la viande, avec quelle restriction il le permet à ses disciples.
Feuille 38. — À Çrâvasti, pendant une famine, les prêtres bouddhistes souffrent de la faim et sont très découragés. Çâkya leur accorde plusieurs concessions.
Feuille 40. — À Mñân-yod (sk. Çrâvasti) les brahmanes et les laïques se plaignent de ce que les prêtres de Çâkya ne veulent pas accepter plusieurs choses qu’ils désirent leur offrir afin d’acquérir des mérites moraux pour leur bonheur futur. — Çâkya donne la permission demandée.
Feuille 40-41. — Maladie de Çârihi-Bu. Prescription d’un médecin. Efforts de Maugal-gyi-bu pour obtenir le médicament ordonné.
Feuille 42 45. — Histoire de Lug et de Bzang-Byed ; leur bonheur ; leur famille ; leurs grandes qualités ; Çâkya se met en marche pour leur rendre visite ; malice de la secte Mu-stegs-can (sk. Tîrthika), ennemie de Çâkya, qui cherche à l’empêcher d’entrer ; par quel moyen il s’introduit chez ceux qu’il veut voir.
Feuille 48. — Comment un prêtre peut donner la bénédiction à une quantité quelconque de remèdes pour sept jours, de manière que toute personne dont la vie est pure en puisse faire usage. Plusieurs concessions faites par Çâkya à des malades pour le régime qu’ils ont à suivre.
Feuille 50. — Plusieurs anecdotes sur la famine de Vârânasi, famine qu’on avait annoncé devoir durer douze ans, à cause du manque de pluie.
Feuille 53. — Merveilleux effets de l’aumône accordée à un saint homme, ou Ṛṣi, ou conséquence des mérites religieux et moraux dans des existences antérieures. Çâkya est dans un lieu appelé Uduma. Ses leçons aux quatre grands rois (fabuleux) qui résident sur le Ri-rab (sk. Sumérou ou Mérou). Il confie sa doctrine à la garde de ces quatre grands rois ou dieux et à celle de Hod-Srung, pour la défendre après sa mort. Tous lui promettent de la défendre.
Feuille 57. — Il explique à ces disciples les mérites moraux antérieurs de ces quatre grands rois ou dieux.
Feuille 59-60. — Le Ṛṣi Kenahibu ( « fils de Kena » ) présente huit sortes de liqueurs ou de breuvages à Çâkya qui en explique à ses disciples l’emploi et les vertus médicinales. Ri-vo, un tran-srong ou ermite (sk. Ṛṣi) avec ses