ment subjugué le diable avec toutes ses armées, celui-là a trouvé la perfection suprême (est un bodhisattva) ; je l’adore. »
Je passe maintenant à la revue des matières formant les diverses divisions de la classe Dul-va.
La première (Hdul-va-Gj̈i) en tibétain, Vinaya-vastu en sanscrit) « base de l’éducation », consiste en plusieurs traités sur l’instruction disciplinaire des personnes revêtues d’un caractère religieux qui devinrent des sectateurs de Çâkya et entrèrent dans l’ordre religieux de ce Buddha ou sage. Il y a, sans en compter plusieurs autres, dix-sept traités de ce genre compris dans les quatre premiers volumes de la classe Dulva. Le meilleur arrangement qu’on puisse adopter est de rapporter les divers sujets au volume de la classe et au feuillet du volume où ils se trouvent.
VOLUME I — (K) ཀ
Au second feuillet, les sujets traités dans cette portion sont résumés en deux çlokas[1] dont le sens peut s’exprimer ainsi :
I. | L’entrée dans l’ordre religieux. |
II. | Confession ou supplication générale. |
III. | Prohibition ou censure d’actions immorales. |
IV. | L’habitude de passer l’été en un endroit déterminé. |
V. | Cuir, peau. |
VI. | Médicaments. |
VII. | Vêtements ou habits. |
VIII. | Nattes. |
IX. | Kauçambhi (ville). |
X. | Œuvres ou actes. |
XI. | Dmar-ser-can[2]. |
XII. | L’homme intérieur. |
XIII. | Changement. |