Page:Annales du Musée Guimet, tome 2.djvu/158

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
140
ANNALES DU MUSÉE GUIMET
j, se prononce dj.
ĵ, j.
k, kh. k.
l, m. l, m.
ṃ,
se prononce en général d’une façon nasale comme l’n de chanter.
n, ṇ, se prononcent n.
ñ, gn (gne).
ng, nng avec g dur.
o, se prononce o.
p, ph, se prononcent p.
q, ne s’emploit pas.
r, se prononce r.
ṛ, ri avec i très faible.
s, ç, jamais z.
ṣ, ch fort.
t, se prononcent t.
ts, et ts, ts.
u, se prononce ou.
v, v.
w = v
ou w anglais (très rare, propre au tibétain.
x, se prononce kch.
y, i.
z, dz se prononce z, dz.
: ne se prononce pas et est analogue à notre s final dans les amis, les hommes, les biens (spécial au sanscrit).[1]

D’après cela, Axayamati-paripṛccha se prononcera : Akchayamati-paripritcha.

Prajña-vardhani-Dhâranî se prononcera Pradjgnâ-vardanî-dâranî.

Aṣṭa-Çatakam se prononcera Achta-çatakam.

  1. : représente une légère aspiration au lieu de h, dans les mots tibétains seulement ; c’est à peu près comme l’esprit doux grec.