deux césures, la première après la quatrième syllabe et la seconde après la dixième^^1.
La première syllabe, la quatrième, la sixième, la dixième et la finale longues (ou un dactyle, un crétique, un tribraque, un dactyle, un tribraque, une brève et une longue) ; deux césures, la première après la septième syllabe et la seconde après la dixième^^2.
Un amphibraque et un anapeste répétés, un bacchius, une brève et une longue ; une césure à volonté au commencement du pâda^^3.
Les cinq premières syllabes, la onzième, la douzième, la quatorzième, la quinzième, la pénultième et la finale longues (ou un molosse, un antibacchius, un tribraque et trois bacchius)^^4.
1 Cf. Agnipur., 333, 22 (mandâkrântâ) ; Bṛhatsamh, 104, 9 {kl.) ; Chandom., p. ZZ (id.) ; Çrutab., 18 (id.) ; Colebr., loc. cit. (id.) ; Ind. Stud., viii, 395 {id.).
2 Cf. Agnipur., 333, 21 ; Bṛhatsamh., 104, 40 ; Chandom , p 32 ; Colebr., loc. cit. ; Ind. Stud., VIII, 394. — Le premier pâda de l’exemple pèche au point de vue de la césure.
3 Cf. Agnipur., 333, 20 {prthoi) ; Bṛhatsamh., 104, 16 (vilambilagati) ; Chandom. (pṛthvî), p. 32 ; Çrutab., 41 (id.) ; Colebr., loc. cit. (id.) ; Ind. Stut. viii, 396 (id.).
4 Cf. Agnipur., 333, 22 (kusumitalatâvellita) ; Chandom., p. 34 (id.) ; Colebr., loc. cit. (id ) ; Ind. Stud., viii, 397 (id.).