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avadâna-çataka

En conséquence, Bhixus, ceux qui connaissent à fond leur propre avantage, celui d’autrui et l’avantage commun (de soi et d’autrui) doivent apprendre ceci chacun pour soi : Est-ce que l’initiation sera pour nous un avantage, sérieux, fructueux, une source de bonheur, une cause de maturation du bonheur ? et pour ceux qui nous feront jouir de leurs (aumônes en) vêtements, boulettes de riz, sièges, rafraîchissements, remèdes, ornements (ou ustensiles), pour ceux-là aussi les offrandes qu’ils nous feront ajipnrteront- elles les grands fruits d’une extrême utilité, de grands avantages (des ravuns de clarté ?) un grand développement ? — Voilà, Bhixus, ce qu’il vous faut apprendre^^1.

1 Ce sûtra est unique, c’est-à-dire qu’il paraît une seule fois (dans le récit 88). Le sùtra indiqué par une simple mention dans If récit 3 lui correspond à certains égards : mais Oii ne jjeut pas al’lirmer qu’d le désigne etVectivenient. Si l’on s’en rapporte au Rilna-avadàna-uiàlà il ne le désignerait pas ; car l’iuslruction rapportée dans le récit de ce recueil correspondant au Iroisieme récit de lAvadàna-Çalaka n’est pas l’équivalent du sûtra reproduit dans le quatre-vingt-huitième.