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sommes redevables à M. C. Jamin, de Paris, était encore une espèce identique, ou à peu près, à la Reine-Hortense sous un nom de nouvelle création ; il n’en est rien, et sur ce point plus d’incertitude possible, après une lecture tant soit peu attentive de la description qui précède. — Époques de la feuillaison — de la floraison — de la maturité — coloris et volume du fruit — saveur plus acidule — teintes et mouchetures de l’épiderme cortical — configuration des rameaux et des feuilles (celles de la Reine-Hortense, notamment, sont munies de chaque côté du disque, près du pétiole, de deux glandes rougeâtres) : ce sont là autant de caractères saillants qui les différencient, et rendent le doute impossible.

Aug. Hennau.