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les uns des autres en élevant constamment chacun d’eux à la puissance , et en extrayant, de cette puissance, la racine du degré  ; ces quotiens tendent donc sans cesse vers l’unité ; les expressions successives, toujours moindres que les véritables, tendent donc sans cesse à devenir égales entre elles et à l’expression exacte de .

11. Si, dans ces diverses formules, on suppose négatif elles deviendront

Ici les quotiens des expressions consécutives ne tendront sans cesse vers l’unité et en conséquence ces expressions ne tendront sans cesse à devenir égales entre elles et à la véritable valeur de qu’autant