les deux valeurs de étant alors imaginaires, aucun des rayons émanés du point lumineux ne pourrait parvenir en . Les rayons émanés de ce point n’embrassent donc pas ici tout le plan vertical qui les contient, comme il arrive pour les rayons rectilignes, dans le cas d’une densité constante ; ils sont circonscrits par une courbe enveloppe, dont l’équation est évidemment
ou bien
équation d’une nouvelle parabole, tournée dans le même sens que celles que décrivent les rayons lumineux, mais dont l’axe est l’axe même des c’est-à-dire, la verticale conduite par le point rayonnant, et dont ce point est le foyer. Elle ne diffère, au surplus, que par sa position du rayon parabolique qui répond à , c’est-à-dire du rayon dont la direction initiale est horizontale. Un œil placé dans l’intérieur de cette courbe limite, verra donc deux images du point rayonnant ; ce point sera tout-à-fait invisible pour un œil situé hors d’elle ; enfin pour un œil situé sur la courbe même, les deux images se confondront en une seule.
xxi. Occupons-nous présentement de la détermination précise de lieu des deux images. L’équation (30), résolue par rapport à donne
de sorte que nous avons ici
de là résulte