MÉTÉOROLOGIE.
et thermométriques, faites à
Montpellier en 1827 ;
Ces observations ont été faites avec le baromètre à niveau constant de Fortin, déjà décrit à la pag. 167 du précédent volume ; l’extrémité de la pointe d’ivoire qui donne le niveau étant toujours estimée à au-dessus des eaux moyennes de la mer ; elles ont été corrigées des centièmes de millimètre dont le zéro de ce baromètre se trouve plus bas que celui du baromètre de l’observatoire royal de Paris. Elles ont été ramenées ensuite à la température de la glace fondante, au moyen de la table de M. Bouvard, qui corrige à la fois la dilatation du mercure et celle de l’échelle. D’après un examen attentif de la situation de la pointe d’ivoire, j’ai pensé que la correction de capillarité était trop légère pour mériter d’être tentée.
Les physiciens qui ont écrit sur les observations barométriques ont indiqué des époques plus favorables que d’autres pour ces sortes d’observations, et ces époques ont été adoptées par le bureau