Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/343

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

drée par une droite mobile sur les trois premières droites (11), considérées comme directrices fixes, on obtient

équation que l’on peut d’ailleurs s’assurer directement être satisfaite par chacune des trois premières équations (11), en particulier : or, il est manifeste qu’elle l’est aussi par la quatrième ; donc, la surface gauche du second ordre, déterminée par trois quelconques des quatre droites (11), contient aussi la quatrième, de telle sorte que ces quatre droites se trouvent dans le cas de celles dont il a été question à la pag. 182 du présent volume, lorsque le problème traité en cet endroit devient indéterminé.

Les sommets du tétraèdre circonscrit (10) sont donnés par les équations (8) de ses faces prises tour à tour trois à trois, ou par toute combinaison qu’on voudra faire entre les trois équations de chacun de ces quatre groupes ; d’où il suit que si, entre les trois équations de chacun de ses quatre mêmes groupes, on élimine la lettre qui leur est commune, les quatre doubles équations qu’on obtiendra appartiendront à un nombre égal de droites passant respectivement par les sommets du tétraèdre circonscrit ; or, ces quatre couples sont

(17)