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celles de ces applications qui, par leur simplicité, nous semblent les plus propres à en bien faire saisir l’esprit.

§. I.

Soient trois fonctions linéaires indépendantes quelconques, en et  ; l’équation

(1)

sera celle d’un triangle dont les côtés, les angles et les sommets respectivement opposés à ces côtés auront pour équations

Soient trois constantes indéterminées, entre toutes ou partie desquelles ou peut d’ailleurs supposer une relation non homogène quelconque ; l’équation du second degré

(5)

sera visiblement l’équation commune à toutes les lignes du second ordre circonscrites à ce triangle.

Si l’on combine tour à tour l’équation (4) avec les trois suivantes

(6)

qui sont évidemment celles de trois droites passant respectivement par les sommets du triangle, elles la