Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/244

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Si l’on a et l’équation (15) pourra être écrite ainsi

elle exprimera alors une hyperboloïde à deux nappes.

Si l’on a enfin et par suite l’équation (15) pourra être écrite ainsi

elle exprimera un cylindre hyperbolique.

Si l’on a et par suite l’équation (15) pourra être écrite ainsi

qui exprimera une autre hyperboloïde à une nappe.

Posons, dans l’équation (14), elle deviendra, en divisant par et en posant ensuite ,

(16)

équation d’une surface conique du second ordre. En faisant les mêmes transformations dans l’équation (15), elle deviendra

(17)

équation d’une autre surface conique du second ordre dont le sommet et les axes coïncident avec le sommet et les axes de la première, et qui sera alors le lieu cherché ; ce qui revient encore à dire que le lieu de l’arête d’un angle droit dièdre mobile, dont les faces sont constamment tangentes à une même surface conique du second ordre, est une autre surface conique.

En retranchant l’équation (17) de l’équation (16), il vient