Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/218

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ces dernières valeurs et les valeurs (9), substituées dans les équations (5) et (6), donnent finalement

Il est clair présentement que, ce que nous avons dît du parallélipîpède nous aurions pu le dire également des parallélipipèdes de sorte que les relations demandées entre les quinze parties du tétraèdre proposé sont les dix suivantes :

(I)