GÉOMÉTRIE DE SITUATION.
de tous les ordres ;
de Châlons-sur-Marne.
Dans tout ce qui va suivre, j’emploîrai les mais degré et classe comme les a entendus M. Gergorme (pag. 151) ; c’est-à-dire, qu’une ligne ou une surface sera dite du m.ième degré lorsqu’elle aura intersections, réelles ou idéales, avec une même droite, et qu’elle sera dite de m.ième classe lorsqu’on pourra lui mener tangentes, réelles ou idéales, concourant en un même point, ou bien plans tangons, réels ou idéaux, se coupant suivant une même droite.
THÉORÈME I. Soit une courbe plane du m.ième degré. Soient une suite d’autres lignes des degrés respectifs telles çue passe par les points de contact de avec ses tangentes issues d’un même point fixe de son plan ; et que chacune des autres soit par rapport à celle qui la précède immédiatement et pour le même point ce qu’est par rapport à la dernière de ces lignes, se réduira à une droite.
Si, par différens points de la droite on mène à la courbe toutes les tangentes possibles, les lignes du (m-1).ième degré déterminées par les points de contact des tangentes issues des mê-