Page:Annales de mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, Tome 18.djvu/122

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et  ; et l’autre, que nous représenterons par ayant pour ses deux bases et Posons enfin Nous aurons d’abord

(1)

En considérant le triangle comme la base commune du prisme triangulaire et du tétraèdre leurs hauteurs seront proportionnelles à et  ; de sorte qu’on aura

(2)

Pour une semblable raison, on aura aussi

(3)

En considérant comme la base du tétraèdre ce tétraèdre aura même hauteur que le prisme  ; de sorte que sera à comme le triple de l’aire du triangle est à l’aire du triangle Mais, parce que ces triangles sont semblables, leurs aires sont proportionnelles aux quarrés de leurs côtés homologues ; de sorte qu’on aura

(4)

Pour une semblable raison, on aura aussi

(5)