par on a, par la propriété des équations du second degré,
On obtiendrait des valeurs de même forme pour les produits et pour les sommes des distances du point aux points d’intersection réels ou imaginaires, de la transversale avec les courbes ; de sorte qu’on a
De là, en ayant égard aux relations (a), on déduit, sur-le-champ ces deux équations
qui donnent, par la substitution de à la place de
ou bien
d’où résulte enfin
Donc, quelle que soit la transversale, et quel que soit le point de sa direction, les différences de l’un quelconque des produits désignées par aux deux autres, ainsi que les différen-