des faces d’un polyèdre et les angles dièdres qu’elles déterminant par leur rencontre.
Soient les aires de ces faces. Rapportons le polyèdre à des axes rectangulaires ayant leur origine dans son intérieur ; et soient les perpendiculaires abaissées de cette origine sur les plans de ses faces, et allant conséquemment du dedans au dehors. Soient encore les angles que font ces mêmes perpendiculaires avec les trois faces.
Si l’on considère un autre point prisdans l’intérieur du polyèdre, comme le sommet commun d’une suite de pyramides ayant ses faces pour bases, leurs hauteurs seront (29)
de sorte qu’en désignant par le volume de tout le polyèdre, égal à la somme des volumes de ces pyramides, on aura
ou bien
et, comme on a aussi
il s’ensuit qu’on doit avoir