étrangère au mouvement de la terre, et dont les composantes, suivant les mêmes directions que celles de soient respectivement ce mobile sera donc sollicité suivant les axes par les forces ainsi les composantes de ces vitesses totales suivant ces mêmes axes seront
de sorte que, par exemple, en désignant par l’accroissement de la vitesse dû à la force on aura
puis donc que on tirera de là
Cela posé, en admettant que la vitesse relative doit être indépendante du mouvement de la terre, et que cette condition exige que, le second membre étant indépendant de les coefficiens des puissances de en soient aussi indépendans ou soient constans, on aura étant une constante. De là on déduira ce qui réduira l’équation ci-dessus à On aura pareillement d’où on conclura, comme M. Fauquier, que si une force imprime à un mobile une vitesse on aura, en général, étant une constante.
Agréez, etc.
La Motte, près St-Mâlo, le 10 juin 1824.