contact que peuvent avoir entre elles les courbes non consécutives comprises dans l’équation générale
Soit, par exemple, l’équation
en cherchant ses solutions particulières, par le procédé qui vient d’être indiqué, on parvient aux trois résultats distincts,
Mais si, d’un autre côté, on intègre l’équation différentielle proposée, on reconnaîtra aisément que son intégrale appartient à une suite de cercles égaux, dont les centres sont situés sur la droite qui divise en deux parties égales l’angle des coordonnées positives ; et on reconnaîtra ainsi que ces cercles doivent simplement avoir de enveloppes rectilignes, données par les équations
mais si l’on considère deux de ces cercles tellement situés que la distance de leurs centres soit égale à leur diamètre commun, ces cercles, bien que non consécutifs, auront un point de contact sur la droite donnée par l’équation
laquelle contient ainsi les points de contact des cercles non consécutifs ; il n’est donc pas surprenant d’après cela que notre procédé, qui était de nature à nous donner le lieu des points de contact de toutes les sortes, nous ait conduit non seulement aux deux enveloppes, mais encore à la droite qui contient les centres de tous les cercles.